Ete 2002, l’occasion du deuxième opus des Errances Lozériennes

En chemin balisé par un écho d’exil,
L’émoi, dans son miroir, scintille de soupirs

J’attends des mots
collés les uns aux autres
pour remplir mon âme de souvenirs

Dans l’invisible,
ta splendeur surprend mon regard !

Du parfum surgit l’aveu,
Qui colore la passion
A jalouser l’enfer !

Le bonheur se loge-t-il dans le frémissement du temps ?