Un nouvel opus estival, le 54e de nos Errances Lozériennes…

Vague rumeur
  qu’une vague de vent
    divague…

La voix de la mémoire
  habille l’œil
     qui découpe doucement l’histoire.

Des paroles parties en transhumance
  et, le silence, en silence,
    embrase la lumière.

Et si j’existais à côté de mon être !


Franchir la porte de l’imagination
Et pérégriner dans les pensées éternelles.

Soudain le vide traverse la tête !

Scène flottante
  variations séculaires…

Pierre et Didier…
  Parcours d’errances
    Sur le site
      Par mail ou courrier
        Par une visite à leurs expos
          ……….
            A bientôt